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Dispositif de création et de mise en jeu des ateliers pour les enfants
Ce dispositif s’organise en trois temps distincts. Vient d’abord le temps de la rencontre avec la matière, celui de la fabrication de la marionnette. Dans un deuxième temps s’opère le processus d’identification. Dès ce moment la marionnette prend vie, elle devient un personnage distinct de son créateur. Moment charnière, grâce auquel le jeu pourra alors, dans un troisième temps, venir se déployer.
Dispositif de création

 

Colloque du 21 septembre 2013 de « Marionnette et Thérapie »
« Lorsque le chemin de vie du patient est tellement froissé, que le recours à l’imaginaire et au symbolique deviennent impossible, on peut essayer de proposer une greffe de l’imaginaire ou greffe d’imaginaire » (selon les termes de Gisela Pankow). Le thérapeute va ainsi prêter au patient un bout de son imaginaire. Dans ma pratique de marionnettiste et d’art-thérapeute, je me suis plusieurs fois trouvée confrontée à ce genre de situation.
Colloque du 21 septembre 2013 de « Marionnette et Thérapie »

 

La jeune fille et la mort

De tout temps la marionnette fricote avec la mort. De retour du festival Mondial international de la marionnette à Charleville-Mézières, j’ai pu une fois encore vérifier ce rapport intime qu’entretient la marionnette avec le monde de la mort et ses acolytes. J’y ai vu nombre de squelettes, ossements, fantômes, représentations de l’au-delà de toutes sortes. Comme si ces personnages et les histoires qu’ils nous content permettaient un accès particulier à cet univers inconnu et angoissant. Ils nous invitent à l’apprivoiser, le démystifier, le rêver, éventuellement à en rire…

 

La jeune fille et la mort

 

Article M&T « Ma petite famille »
Marc a 65 ans, il est trisomique et vit depuis bien des années dans une institution. Il est l’enfant unique de parents artistes. Sa mère, qu’il a perdue très tôt, était pianiste, son père était photographe. Il lui reste pour toute famille sa belle-mère qui est très âgée et vit depuis quelques années dans un établissement pour personnes âgées. Marc pleure lorsqu’il parle de ses parents, il garde précieusement dans sa chambre des albums de photos en noir et blanc de sa petite enfance et de sa famille.
Article M&T « Ma petite famille »

 

Dispositif de création et de mise en jeu des ateliers pour les enfants

Ce dispositif s’organise en trois temps distincts. Vient d’abord le temps de la rencontre avec la matière, celui de la fabrication de la marionnette. Dans un deuxième temps s’opère le processus d’identification. Dès ce moment la marionnette prend vie, elle devient un personnage distinct de son créateur. Moment charnière, grâce auquel le jeu pourra alors, dans un troisième temps, venir se déployer. 

Dispositif de création

Colloque du 21 septembre 2013 de « Marionnette et Thérapie »

« Lorsque le chemin de vie du patient est tellement froissé, que le recours à l’imaginaire et au symbolique deviennent impossible, on peut essayer de proposer une greffe de l’imaginaire ou greffe d’imaginaire (selon les termes de Gisela Pankow). Le thérapeute va ainsi prêter au patient un bout de son imaginaire. Dans ma pratique de marionnettiste et d’art-thérapeute, je me suis plusieurs fois trouvée confrontée à ce genre de situation.

Greffes Imaginaires

La jeune fille et la mort
De tout temps la marionnette fricote avec la mort. De retour du festival Mondial international de la marionnette à Charleville-Mézières, j’ai pu une fois encore vérifier ce rapport intime qu’entretient la marionnette avec le monde de la mort et ses acolytes. J’y ai vu nombre de squelettes, ossements, fantômes, représentations de l’au-delà de toutes sortes. Comme si ces personnages et les histoires qu’ils nous content permettaient un accès particulier à cet univers inconnu et angoissant. Ils nous invitent à l’apprivoiser, le démystifier, le rêver, éventuellement à en rire…

La jeune fille et la mort (FrA)

Article M&T « Ma petite famille »

Marc a 65 ans, il est trisomique et vit depuis bien des années dans une institution. Il est l’enfant unique de parents artistes. Sa mère, qu’il a perdue très tôt, était pianiste, son père était photographe. Il lui reste pour toute famille sa belle-mère qui est très âgée et vit depuis quelques années dans un établissement pour personnes âgées. Marc pleure lorsqu’il parle de ses parents, il garde précieusement dans sa chambre des albums de photos en noir et blanc de sa petite enfance et de sa famille.

Article M&T, La petite famille